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Chez Sce, nous sommes convaincus que l’épanouissement professionnel passe par l’équilibre entre vie personnelle et professionnelle. Soutenir des projets atypiques, comme des absences longues pour partir voyager, en est une belle illustration. Cet été, nous avons mis en lumière quatre récits de collaborateurs ayant fait une parenthèse dans leur quotidien chez Sce pour explorer le monde. Découvrez les témoignages de Jules Tessier, Maël Jacques, Violaine Gaudin et Sylvain Houssais.
Une parenthèse loin du quotidien
Pour chaque collaborateur, le voyage a pris une forme différente… Jules Tessier a saisi l’opportunité d’un Volontariat International en Entreprise (VIE) pour partir un an à Hô Chi Minh, au Vietnam, et contribuer à un projet d’amélioration de la gestion des eaux urbaines. Maël Jacques a lui, exploré l’Indonésie, l’Australie et la Réunion pendant six mois avec des amis, marquant une transition entre la fin des études et le début de la vie active. Violaine Gaudin a choisi la Nouvelle-Zélande pour un périple de trois mois mêlant woofing et tourisme. Elle évoque une immersion enrichissante : « Le woofing permet une immersion totale avec les locaux, un véritable échange humain. ». Sylvain Houssais, quant à lui, a opté pour un voyage à travers l’Europe, sac à dos et sans itinéraire défini, avec une seule règle : ne pas prendre l’avion.
L’organisation de l’absence
Ces projets, bien que personnels, ont été accueillis avec enthousiasme par les équipes et les responsables. L’anticipation a été la clé de leur réussite, « Dès mon arrivée chez Sce, j’ai exprimé mon souhait de partir en VIE », raconte Jules. Maël a, lui aussi, pu partir sereinement grâce à la bienveillance de son équipe : « J’ai évoqué mon projet de voyage et il a été très bien reçu. » Pour Violaine et Sylvain, l’accompagnement de Sce a permis de concrétiser leurs aspirations tout en assurant une transition en douceur à leur retour.
Voyager pour grandir
Ces voyages ont marqué leurs esprits et laissé des enseignements durables. Jules y a vu une école de la débrouillardise et de l’autonomie, « On apprend à gérer les imprévus, une compétence essentielle dans le travail. ». Maël souligne une nouvelle sérénité : « J’ai appris à relativiser face aux aléas et à mieux gérer les défis, que ce soit en voyage ou au bureau. » Violaine a, elle, développé un goût pour l’aventure et une plus grande confiance en elle : « Maintenant, je sais que je suis capable de repartir, même seule. » Pour finir, Sylvain évoque un retour à l’essentiel : « J’ai l’impression d’avoir gagné en maturité et en écoute. Ces valeurs enrichissent mon quotidien autant que mes projets professionnels. »
Leçons à retenir pour le retour au bureau
De retour au travail, les quatre voyageurs partagent un constat commun : cette parenthèse loin du quotidien les a profondément enrichi, tant sur le plan personnel que professionnel. Violaine résume bien cet état d’esprit : « Que ce soit pour quelques jours ou plusieurs mois, il est essentiel de savoir mettre le quotidien sur pause. » Ces mois de voyage ont permis à chacun de prendre du recul, de développer de nouvelles compétences techniques et de renforcer leur capacité à gérer des projets de manière plus souple et créative. Pour certains, ces apprentissages nourrissent aujourd’hui leur approche professionnelle. Sylvain, lui, en retient une règle simple, valable aussi bien sur la route qu’au bureau : « Ce n’est pas parce qu’on ne suit pas le plan initial qu’on n’arrive pas à destination."
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